Après avoir vu sur Fessestivites l’article sur le crotchrope cela m’a donné des idées de selfbondage évolutif pouvant être aléatoire et imprévisible. Cela ne m’a pas pris beaucoup de temps pour le préparer car il ne me fallait qu’un seau, une corde et un anneau à fixer à une poutre sous les tuiles.

J’ai donc pris mon escabeau pour fixer l’anneau dans une poutre devant la porte de mon garage juste dessous l’extrémité des tuiles. Dans cet anneau, j’ai fait passer la corde fixée à mon seau pour voir si l’eau tomberait dans le seau au lieu du sol.

Sans lâcher la corde, je suis redescendu, j’ai poussé l’escabeau et j’ai fait passer la corde entre mes jambes pour la fixer, provisoirement à ma ceinture. En reculant j’arrivais sans problème à faire remonter le seau sans l’usage de mes mains.

Donc, si il se mettait à pleuvoir, l’eau tombant des tuiles remplirait le seau et tirerait sur la corde passant entre mes jambes et ..... Il me restait à affiner mes réglages en m’imaginant entravé mains menottées dans le dos. Une fois faits, j’ai accroché la corde à une charnière pour aller préparer mes accessoires de selfbondage.

Ayant toujours mes serrures de glace de 2 heures et 4 heures de chez ABCplaisir, au congélateur, les préparatifs n’ont pas tardé. C’est donc avec mes menottes, des pinces à sein, un bâillon ouvert. En arrivant au garage, j’ai donc récupéré la corde pour m’en faire comme une ceinture. A la suite de quoi je l’ai enjambée pour qu’elle passe entre mes fesses et mes jambes.

Le principe avait l’air de fonctionner. Quand j’avançais le seau descendait, quand je reculait il montait. Pour attraper mes menottes posées trop loin, j’ai de nouveau enjambé la corde et là, je me suis dit que le fait que je puisse enjamber la corde me permettrait de m’échapper de la tension. Donc tout faux, il me fallait donc affiner et prévoir des entraves aux chevilles !

Je me suis donc libéré pour aller en chercher et là, mon ballstretcher m’a fait de l’oeil. le sadique ! L’idée m’est venue que je pourrai l’accrocher à la corde du seau. Complètement allumé, excité, j’ai aussi pris mes pinces à sein avec chaînette avec l’idée de les accrocher elles aussi à la corde. Ainsi, si la pluie se mettait à tomber, j’ai des sensations anales, une traction sur les testicules, j’adore, et sur les tétons. Rien que d’y penser j’étais fou d’excitation.

De retour au garage, j’ai avancé une vieille chaise pour y poser mes menottes et mes pinces à sein. J’ai donc passé et fixé les deux brins de corde dans le ballstretcher en faisant de nouveaux réglages. Au premier test sans menottes, je pouvais faire monter le seau vide en tirant avec mes testicules. Hummmm.

Pour fixer les pinces à sein, j’avais pris un bout de fil de fer à passer dans la chaînette puis la corde. C’était un peu court, je me suis dit que je devrai affiner ce réglage pour un jour de pluie.

J’ai donc finaliser mon crotchrope et j’ai bloqué mes menottes dans le dos en finalisant avec la serrure de glace de deux heures. Il ne pleuvait pas, ce n’était donc pas très évolutif mais quand même intéressant. La seule chose que je pouvais faire c’était d’avancer à petits pas cause chaînes aux pieds puis reculer. Cela tirait quand même un peu trop sur mes tétons.... Au niveau des testicules, c’était bien bon....

Comme il faisait chaud et que j’avais perdu beaucoup de temps en préparatifs, je ne suis resté bloqué qu’une heure et demi en fantasmant sur ce qui arriverait un jour de pluie. Ayant gardé en mémoire les réglages puis la modification à faire pour les pinces à sein, j’étais prêt pour un orage.

La météo me fit languir mais elle fut aussi sauvage et cruelle une semaine plus tard. La télévision et même mon portable annonçaient un bulletin d’alerte précipitations et risque d’inondation. N’étant pas en zone inondable j’étais ultra excité. La météo agricole étant plus précise que la télé, je me suis donc basé sur ses indications pour choisir l’heure de mon selfbondage.

Après avoir débranché la box et la télé, je me suis rendu au garage avec mes petites affaires. Pour plus de plaisir j’avais ajouté un plug anal et un petit vibro masseur avec deux colliers pour le fixer à la corde. Vibrations + plug + pinces + ballstretcher + bondage + traction aléatoire, je ne pouvais que m’éclater.....

Ce fut le cas, surtout au début de l’orage. Mais qu’au début !!!!!!!!!!!

Donc au début, le vibro faisant vibrer la corde et donc mes testicules c’était bien bon, et quand je reculais cela enfonçais le plug tout en tirant doucement sur mes tétons. Autant avoue que c’était bien bon. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que quand il pleut, la température baisse. Le froid castrait un peu les plaisirs et le seau ne se remplissait pas vraiment. Et puis ce fut le déluge. J’en suis arrivé à me demander si Noé n’allait pas devoir ressortir son arche.

• Des trombes d’eau s’abattaient sur la maison.
• Le seau se remplissait très vite et devenait lourd.
• Je n’avais pas prévu 10 litres de poids et en voyant ce qu’il tombait j’ai pris peur pour mes testicules !
• Mes pinces à sein commençaient à devenir cruelles.

En me maudissant, je me suis dit que cette fois j’allais déguster. J’allais de faire de l’auto CBT puissance 10 litres. J’avais les yeux rivés sur le seau que je voyais descendre et donc étirer mes testicules puis mes tétons. Au fur et à mesure j’avançais INUTILEMENT pour ne pas trop souffrir ce qui fut une erreur car si je voyais mes tétons et mes couilles monter, je me faisait éclabousser d’eau froide.

Et puis j’ai commencer à transcender la douleur, cela devenait bon, je me sentais d r o g u é j’étais bien, comme dans un autre monde. Lorsque mes pinces à sein se sont arrachées, la douleur a déclenché de contractions qui ont commencé par mon anus. Pourquoi ???? Aucune idée. Ce fut ensuite mes jambes qui se mirent à trembler puis mon sexe qui se contractait comme si je jouissais. J’ai eu l’impression de vivre Hiroshima et Nagasaki dans mon garage tant cette jouissance paroxystique me lamina.

Je n’ai presque rien senti au niveau de mes testicules quand je me suis à moitié écroulé sur le béton. Je n’avais plus froid, j’étais bien, j’étais dans un nuage.

Le retour sur terre fut plus délicat ! Par chance, la serrure de glace c’était ouverte et me rendait mes mains pour tirer sur la corde. Défaire les noeuds fut ma priorité mais d’une main, c’est long.... Comme un C.. j’avais juste zappé qu’il me fallait traverser la cour pour retourner à la maison. Sauf qu’avec le ballstretcher encore en place sur mes testicules malmenés, ce fut difficile de marcher vite, nu sous la pluie.

Conclusions : j’ai pris cher mais un pied d’enfer.

FIN

TSM

Cette histoire est le fruit de mon imagination mais il me plairait bien de la faire vivre à un soumis dans notre gîte fétichiste en Espagne.

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

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